4 septembre 2020

Cheer Un Jour, Cheer Toujours – Guylaine

Vous vous êtes déjà demandé où étaient rendues vos cheerleaders des Alouettes préférées? Suivez notre série « Cheer un jour, Cheer toujours » où nos anciennes nous parlent de leur expérience, de leur cheminement et de ce qu’elles sont devenues!

Cette semaine, on s’est entretenu avec Guylaine, qui a fait partie de notre équipe de cheer de 2000 à 2008!

Qu’as-tu fait après ton temps avec les Alouettes et où es-tu rendue aujourd’hui?
Jusqu’à tout récemment, je travaillais en gestion d’actifs dans un cabinet d’actuaires. J’ai d’ailleurs obtenu mon titre de CFA (Chartered Financial Analyst) l’an dernier. Or, je suis présentement en congé de maternité à m’occuper donc d’un adorable petit bout de chou. Mon conjoint et moi profitons bien de la situation particulière actuelle pour passer de beaux moments en famille.

Quel est ton meilleur souvenir en tant que cheerleader avec les Alouettes?
Dans mon top cinq, il y a mon premier calendrier des Alouettes à Cuba. C’était la toute première fois que je me baignais dans la mer et que je voyais des palmiers. Aller dans le sud pour la première fois c’est bien, mais y aller avec un groupe de filles drôles et attachantes, ça n’a pas de prix.

 

Quelle est ton anecdote la plus farfelue?
À l’époque où je faisais partie de l’équipe, j’étais aux études à temps plein et je travaillais pour les payer. L’université, le travail en plus de la danse, ça fait beaucoup et on peut devenir distraite des fois. Une journée, juste avant d’aller sur le terrain pour faire le spectacle de la mi-temps, je ne trouvais plus ma deuxième chaussure de danse. J’ai dû me résoudre bien malgré moi à faire la chorégraphie en chaussette! Les filles ne se sont pas gênées de me passer la remarque… « Qu’est-ce qui se passe avec tes souliers Guylaine ? »

Après le match, en marchant vers le stationnement, j’ai remarqué au loin qu’il y avait quelque chose sur le toit de ma voiture. C’était la fameuse chaussure manquante! J’ai fini par en rire, mais pas autant que les filles qui ont été témoins de la scène. Encore aujourd’hui, je ne peux pas expliquer comment elle a pu aboutir là…

Qu’as-tu appris durant ton temps avec les Alouettes?
Faire partie des cheerleaders des Alouettes m’a appris, entre autres, à accepter la critique et m’a montré la valeur du vrai travail d’équipe. Concrètement, cela peut se traduire par quelque chose d’aussi simple qu’une correction sur un enchaînement de chorégraphie. Ce n’est jamais agréable de se tromper et de se le faire dire, mais au final, on apprécie de ne pas se ridiculiser sur le terrain pendant un match. Les commentaires constructifs, c’est précieux.