11 septembre 2020

Cheer Un Jour, Cheer Toujours – Katherine

Vous vous êtes déjà demandé où étaient rendues vos cheerleaders des Alouettes préférées? Suivez notre série « Cheer un jour, Cheer toujours » où nos anciennes nous parlent de leur expérience, de leur cheminement et de ce qu’elles sont devenues!

Cette semaine, on s’est entretenu avec Katherine, qui a fait partie de notre équipe de cheer en 2008 et 2009.

Qu’as-tu fait après ton temps avec les Alouettes et où es-tu rendue aujourd’hui?

Après avoir complété mon bac en journalisme, j’ai travaillé pour divers magazines et journaux en plus d’être chroniqueuse à l’émission Breakfast Television. Je suis maintenant journaliste pour un magazine basé à Toronto. Mon travail me permet de voyager à travers le monde et de m’entretenir avec des gens fascinants.

 

Quel est ton meilleur souvenir en tant que cheerleader avec les Alouettes?

Lorsque les confettis bleus et rouges sont tombés à la finale de la Coupe Grey à Calgary en 2009! Avoir eu la chance d’être sur le terrain pour un tel moment n’a pas d’égal. Je me souviens des larmes dans nos yeux, des cris de joie et des embrassades, et surtout de cette pluie de confettis. J’en ai d’ailleurs glissé une poignée dans ma poche ce soir-là!

 Quelle est ton anecdote la plus farfelue?

Toujours à Calgary dans le cadre de la Coupe Grey de 2009, on était en route vers le Cheer Extravaganza, le spectacle annuel lors duquel toutes les équipes de cheer de la LCF ont l’occasion de livrer une performance. C’était un moment très attendu pour nous; C’était notre chance de présenter un numéro de plus de sept minutes qu’on préparait depuis des semaines. On sentait déjà la fébrilité dans l’air froid du bus quand tout à coup…boom! On s’arrête soudainement. Imaginez trente-deux cheerleaders prises sur le bord de la route quelque-part en Alberta. Je me souviens que le temps filait et qu’on allait probablement rater le spectacle, mais malgré tout, on gardait la bonne humeur devant l’absurdité de la situation. On était ensemble, on avait du plaisir quand même! Finalement, on est arrivées à bout de souffle dans la salle et on a à peine eu le temps d’enlever nos manteaux avant de grimper sur scène!

Qu’as-tu appris durant ton temps avec les Alouettes?

Ce que je chéris par-dessus tout c’est le sentiment unique d’avoir fait partie d’une équipe. Vivre tous ces moments forts – s’envoler vers le Sud pour la séance photo du calendrier, danser devant 60 000 spectateurs, recevoir une bague de la Coupe Grey – n’aurait pas été aussi magique sans ces femmes extraordinaires à mes côtés, sans cette connexion forgée à coups de pratiques acharnées et d’expériences partagées. Ça m’a appris qu’en bout de ligne, ce qui compte n’est pas seulement ce qu’on fait, mais plutôt avec qui on le fait.